
Coucou,
Parler d'un câlin que t'a fait un vilain monsieur demande beaucoup de force pour toi et c'est douloureux Il ne faut pas avoir honte, car tu n'es pas responsable. Il faut en parler pour qu'il cesse. Il n'a pas le droit de faire un câlin en bas de ton ventre. Le vilain monsieur va chercher a te faire croire que c'est de ta faute pour que tu te laisse faire.
La police, la gendarmerie ,SOS inceste sont là pour t'aider Tu peux aussi en parler à l'infirmière de ton école et aussi à "Un adulte en qui tu as confiance" (ça peut être une tante, un oncle, un ami de la famille peu importe)
(Texte : Jean-Claude)
photo-libre.fr
(Texte : Jean-Claude)
Mon amie
Ne fais pas confiance à ceux qui cherchent à bien te connaître sur les blog's et les chats.
S'ils cherchent ton école ou ton numéro de téléphone ou ton adresse, il faut tout de suite en parler à tes Parents.
(Texte : Jean-Claude)
صديقتي لاتتقين فى الد ين يريدون التعرف عليك في مواقعك الالكترونية و مواقع الدردشة ادا بحتوا عن مدرستك او رقم هاتفك يجب
في الحين اخبار الوالدين
jefmalek pour la traduction en Arabe
Ton corps n'appartient qu'à toi et personne n'a le droit de le toucher. Si ça te gêne ou te fait mal, si un monsieur te demande de faire une chose que tu trouve dégoûtante, il faut dire non car ce monsieur veut te toucher le ventre et que toi tu touche son ventre. Il n'a pas le droit !
Et si le monsieur t'oblige à faire des choses, il faut le dire tout de suite à ta Maman ou à ton Papa et aussi à ton professeur d'école.
Un monsieur, un frère, un cousin n'a pas le droit de te toucher.
(Texte : Jean-Claude)
Toucher = calin
Il y a beaucoup de viols d'enfants qui, sous couvert d'une religion ou pour l'honneur de la famille, dissimulent les violences perpétrées sur leur propre Filles.
(Texte : Jean-Claude)
(Merci: pour la photo Mohamed)
Le 14 juillet 1995 naquit l'Association DIS NO, Association suisse pour la prévention, la détection et le traitement de la violence et des abus sexuels envers les enfants.
Ses buts sont d'initier, de promouvoir ou d'aider toute action dans le sens de la prévention, la détection et le traitement de la violence et des abus sexuels envers les enfants.
On sait aujourd'hui que ce n'est pas aux enfants qu'incombe la responsabilité de se protéger. C'est pour cela que les actions de prévention menées par DIS NO ciblent avant tout les adultes
Ses buts sont d'initier, de promouvoir ou d'aider toute action dans le sens de la prévention, la détection et le traitement de la violence et des abus sexuels envers les enfants. Son action s'étend dans toute la Suisse romande.
Concrètement elle s'engage sur trois axes principaux :
•Prévenir la maltraitance envers les enfants sous toutes ses formes
•Informer les particuliers et les professionnels
•Soutenir les personnes dans diverses démarches
Des années de recherches, de réflexions et de répondance ont permis à l'Association de mieux cibler ses objectifs. Elle s'adresse aujourd'hui principalement aux adultes, convaincue que ce sont eux qui peuvent agir pour le bien-être des enfants.
Vous avez besoin d'un renseignement ?
Vous êtes au coeur d'une situation de maltraitance ?
Vous souhaitez vous confier ou témoigner de votre vécu ?
Quelles que soient vos attentes, vous trouverez auprès du Centre une écoute personnalisée et confidentielle.
•Répondance, information : répondre aux sollicitations diverses et fournir des adresses utiles en fonction des demandes.
•Accompagnement, soutien : accompagner des personnes désirant se confier, témoigner, écrire, signaler, etc.
•Médiation : servir de médiateur entre toutes les personnes concernées par une situation de maltraitance (victimes, familles, entourage, maltraitants) et en collaboration avec les structures concernées (police, LAVI, services de protection de la jeunesse, etc.)
Pour la BienTraitance des enfants, nous informons les adultes.
Association DIS NON
Case Postale 5202
1002 Lausanne
Téléphone : 0840 222 999 (tarif local)
E-mail: info@disno.ch
(Source: www.disno.ch)
Le corps d'un enfant lui appartient. Aucun adulte ne peut en disposer
http://video.google.com/videoplay?docid=8034963268737548590#
Les enfants, même tout-petits, peuvent comprendre que certains gestes sont interdits par la loi et discerner ce qui est acceptable de ce qui ne l'est pas. Voilà pourquoi il est essentiel de les prévenir et de leur apprendre à se protéger. Les conseils pour lui parler pédophilie sans lui faire peur.
Véronique Cordier
Son corps lui appartient
Toute personne qui veut ou doit toucher son corps devrait lui demander son accord, même le docteur. On force souvent un enfant à faire un bisou alors qu'il ne le veut pas. Au lieu de l'obliger, il suffit qu'il dise bonjour oralement ou avec un signe de main. Le mieux est de lui apprendre le plus tôt possible à s'occuper tout seul de son corps : se laver, s'essuyer aux toilettes... De plus, l'enfant doit savoir qu'il n'appartient pas à ses parents. Ils sont simplement responsables de lui. Il ne faut surtout pas lui inculquer l'idée de la toute puissance de l'adulte.
Lui signifier l'interdit de l'inceste
« Papa, quand je serai grande, je me marierai avec toi. » Ce genre de phrase, classique, est un bon prétexte pour parler de sexualité avec votre enfant en lui donnant des repères et des limites. C'est au moment où l'enfant ressent une attirance pour son parent du sexe opposé qu'il est essentiel de lui signifier clairement l'interdit de l'inceste : « Une fille n'épouse pas son père et un fils n'épouse pas sa mère car c'est interdit par la loi. » Lorsque l'enfant comprend sa filiation, il est le fils ou la fille de, le petit-fils ou la petite-fille de, il comprend mieux l'interdit de l'inceste. Les enfants qui ignorent l'interdit de l'inceste croient souvent que les adultes proches qui les entourent (parents, amis et même instituteurs), et même les enfants plus âgés qu'eux, ont des droits sur leur corps, voire sur leurs parties génitales, ce qui les met en danger.
Pas de secret entre vous
Les petits secrets partagés entre enfants sont touchants et ont l'avantage de leur donner un peu d'indépendance. Néanmoins, vous devez expliquer à votre enfant que personne ne doit lui imposer un secret « à ne dire à personne » et que vous, parent, êtes toujours à l'écoute. Il a le droit de révéler une confidence qui l'encombre et doit le savoir. N'oubliez pas que les abus sexuels sont souvent l'œuvre d'une personne très proche de la famille ! Pour se préserver de secrets trop lourds à porter, évitez vous-même ces jeux de cachotteries et expliquez à votre entourage (grands-parents, oncles et tantes, amis) que vous n'y êtes pas favorable.
L'inciter à parler et l'écouter
Votre enfant doit savoir qu'il peut toujours vous parler. Soyez ouvert et à l'écoute, que ce soit oralement ou en ce qui concerne son comportement. Si votre enfant sait que vous êtes toujours disponible pour l'écouter, il se confiera plus volontiers le jour où il en aura besoin. S'il a subi une agression et qu'il se confie, écoutez-le et respectez sa parole. Il doit se sentir compris pour garder la confiance qu'il a en vous. On sait qu'un enfant ment rarement lorsqu'il se plaint d'abus sexuel. Dans ce cas, vous devez lui signifier qu'il n'est ni responsable ni coupable. Il est désormais en sécurité et c'est l'adulte qui a commis une faute qui doit être puni. Dites-lui que c'est interdit par la loi et que vous devez le dire à la police pour que l'agresseur soit retrouvé et que cela n'arrive pas aux autres.
Faire son éducation sexuelle
Son corps l'intéresse grandement. Profitez des moments de bain ou de déshabillage pour parler de son anatomie, de celle du sexe opposé, de la différence avec celle des adultes... L'éducation sexuelle se fait naturellement dans la famille au gré des événements ; la naissance d'un petit frère ou d'une petite sœur par exemple. Répondez à ses questions de manière simple mais honnête. Expliquez-lui ce qui est du domaine de l'intime, ce qui peut se faire en public, ce qui doit se faire en privé, ce qui ne se fait qu'entre adulte... Tout cela l'aide à comprendre ce qui n'est pas normal et à l'identifier, le cas échéant.
Lui apprendre à dire non
Le fameux « non » qu'il dit si souvent aux environs de 2 ans. Eh bien, il devrait continuer ! Il y a certaines règles de protection que vous devez lui apprendre, tout comme vous lui avez appris à ne pas mettre ses doigts dans la prise ou à ne pas se pencher par la fenêtre. Il est tout aussi capable de les intégrer. Il a le droit de dire non ! Il peut refuser une proposition qui le met mal à l'aise, même si elle émane d'un adulte qu'il connaît. Il n'est pas impoli s'il ignore un adulte qui lui demande de l'aide ou de l'accompagner quelque part. Il a le droit de refuser un câlin, un bisou, une caresse s'il n'en a pas envie. Savoir que vous le soutenez dans ces moments l'aidera à s'opposer plus facilement.
Lui rappeler régulièrement les règles
Son corps lui appartient, ne perdez jamais une occasion de le lui rappeler. C'est un discours qui évolue avec l'âge et la capacité de votre enfant à comprendre ce que vous dites. Vers 2 ans et demi-3 ans, par exemple, il peut comprendre qu'il ne doit pas se mettre tout nu devant tout le monde. C'est aussi le moment où il devient très pudique. Et il faut donc respecter sa pudeur. Vers 5-6 ans, il faut lui expliquer plus directement que personne n'a le droit de toucher son corps et encore moins ses parties génitales, sauf pour le soigner (en présence de papa ou maman). Quelle que soit votre façon de lui dire, en fonction de son âge, il doit comprendre qu'il a le droit au respect et à la protection des adultes.
Jouer des situations avec lui
Rien de plus efficace que la mise en situation. De nombreux livres existent qui vous donnent un soutien efficace pour répondre à leurs questions ou aborder le sujet de façon pragmatique.
Très efficace aussi avec les enfants, des petits jeux de rôle.
Que fais-tu si une dame que tu connais un peu te dit qu'elle va te ramener à la maison ?
Que fais-tu si un monsieur de l'immeuble te propose de descendre avec lui à la cave pour réparer ton vélo ?
Que fais-tu si un monsieur veut que tu sortes du parc pour voir ses petits chiots dans la voiture ? Il faut continuer à jouer jusqu'à ce qu'il ait bien compris ce qu'il doit répondre. La seule réponse possible, c'est de dire non et d'aller dans un endroit où il y a du monde.
Ne pas l'effrayer
C'est bien entendu toute la difficulté de cette démarche : lui apprendre à se méfier tout en lui inculquant la confiance en l'autre. Il faut toujours rester dans la réalité. N'en rajoutez pas, il ne doit surtout pas penser que tout adulte peut représenter un danger pour lui ou que tout étranger lui veut du mal. Il doit simplement savoir que certaines personnes « ne sont pas bien dans leur tête » et que vous, et beaucoup d'autres adultes êtes là pour le protéger et le sécuriser. Le but est de l'ouvrir au dialogue et à la confiance avec quelques personnes auprès de qui il pourra se confier en cas de problème. Profitez le plus possible de moments de jeux et de détente pour faire une piqûre de rappel.
Source Parent
Si vous habitez dans un immeuble n'inscrivez pas votre prénom sur la boite aux lettres ou prés de la sonnette .
N'y mettez que vos initiales : Un étranger ne peut pas savoir si ce sont celles d'un homme ou d'une femme .
Si vous vivez seule inscrivez , un autre nom fictif , à coté du votre : Un appartement occupé par plusieurs personnes est une cible moins tentante pour un maniaque .
Si vous êtes seule quand on sonne chez vous , faites croire que vous avez de la compagnie .
Près de la porte , criez par exemple : Ne te dérange pas . J'y vais !
Extrait du guide familial des urgences
Reader's Digest
Photo libre
PAUL A UNE STRATEGIE
je m'appelle Caroline, j'ai 12 ans. Paul est un ami de mes parents, il a toujours eu de l'affection à mon égard et me protège. Un jour il nous a invité chez lui comme presque tous les mois pour discuter, écouter de la musique avec Papa et Maman.
Je m'amusais avec l'ordinateur placé sur son bureau. A chaque fois qu'il mettait un jeu :
" un jeu pour toi Caroline ! me disait-il" et il me faisait un bisou sur la joue
Paul est en réalité un pervers. Il prémédite, organise tout pour que le jour choisi par lui Il puisse réaliser son acte ignoble. Ce jour là il y avait un coupe papier sur le bureau, j'ai fait une grande coupure sur le siège involontairement. . Paul est venu chercher des disques et m'a fait un bisou sur la joue. je n'osais pas lui dire. Il m'a dit : " ton Papa et ta Maman vont te gronder et te punir, tu ne devrais pas jouer avec le coupe papier et couper le siège "
Paul cherche à culpabiliser Caroline pour la placer en état de soumission
" Tu penses un peu au siège ? Ils vont vouloir en acheter un autre . Je ne vais pas en parler et toi non plus Caroline, c'est un secret entre nous maintenant "
Paul a caressé mes cheveux en me disant ils sont magnifiques et m'a fait un bisou sur les deux joues.
Paul a une stratégie ! Les caresses sur la chevelure et les deux bisous sur les joues sont les premiers contacts physiques . Mais Caroline, interpelée par les textes du blog de Prévention-victimes qu'elle a lus et ceux de SOS incestes nous a contacté et prévenu ses Parents.
Caroline et Paul sont des personnages imaginaires
(Texte : Jean-Claude)
photo-libre.fr
Un jour il arpente la maison nu comme un ver, le lendemain, il exige qu'on détourne le regard tandis qu'il s'habille. Comment s'y retrouver ? Le jeune enfant a besoin qu'on réponde sans tabous à son innocente curiosité, et qu'on respecte son corps.
A.V.W
Un peu de prévention
Expliquez-lui que, même si un adulte le lui demande gentiment, l'enfant ne doit pas accepter de toucher ses parties intimes. C'est privé. En réponse à sa curiosité, dites-lui que les câlins tout nus, ça se passe entre amoureux lorsqu'on est une grande personne. Comme entre papa et maman.
Source : Parents
Les blogs, MSN, Facebook, les forums de discussion, les sites sont en plein essor. Internet est un moyen moderne de communication, qui permet d'échanger mais attention aux dangers qui rodent sur Internet. Il peut y avoir des menaces d'où l'importance de prendre quelques précautions :
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